Londres

Une secte pharaonique et des meurtres egyptiens

La piste fraiche d’Elias Jackson amena nos investigateurs à rejoindre la capitale de l’empire Britannique. Edouard Carter s’occupa des modalités pour le voyage, pendant que Maximilian Garrow s’entretint avec Julian Baxter quand il ne consommait pas de whisky pour éliminer les visions de cauchemar. Le professeur O’Neill se remettait difficilement des blessures des sectateurs et des blessures encore plus profondes de son âme après avoir réalisé toute l’horreur de la situation.
A bord du Queen Mary, et de son faste que Maximilian gouta avec expertise, ils arrivèrent à Southampton, le port de haut tonnage d’Angleterre. Après les formalités d’usages, ils rejoignirent la capitale du monde : Londres, le 28 janvier 1925.
Ils choisirent une pension rue Backer Street, la rue du célèbre inspecteur d’Arthur Conan Doyle. Miss Dotfire leur fit bonne impression et hommes et femmes du groupe se répartirent sur les deux étages.
Edouard Carter est passé voir sa mère qui lui fit promettre de revenir le lendemain soir pour manger avec elle. Elle ne put se retenir d’annoncer le futur mariage de son frère avec une française, Olivia Duparc.
Le soir même, Maximilian avait réservé une représentation du Roi en Jaune, une adaptation d’une pièce ésotérique plus ancienne, « maudite » aux dires des metteurs en scène.
Mais comme la raison de leur visite à Londres, n’était pas le tourisme, nos investigateurs se partagèrent le travail le lendemain même, après leur cup of tea.
Alaska Vanderbilt partit enquêter auprès du Scoop, tenu par l’extravagant Mickey Mahoney. Peut-être est ce dû à leurs origines différentes, mais ces deux ne s’entendirent pas. Alaska réussi cependant à récupérer deux affaires qui intriguaient Elias Jackson : Le peintre de l’Horreur à l’Honneur et une affaire d’abominable meurtrier dans le Derwent, à deux heures au nord de Londres.
Elias était passablement inquiet quand il est passé au Scoop mais il ne s’était pas livré au repoter. L’entrevu s’est terminée avec l’offre d’achat d’article croustillant à notre investigatrice.
De son côté, Pedro Encina alla rencontrer cet inspecteur de Scotland Yard, James Barrington qui avait été mentionné par feu Jonah Kensington de Prospéro Press. Sympathique, avenant, il prit le temps de rencontrer notre apprenti inspecteur. Cet inspecteur est actuellement embourbé dans une affaire de meurtres en série contre des ressortissants égyptiens.
Les pistes sont maigres ! Peut être une secte, celle du Pharaon noir dont Elias Jackson lui avait parlé. Mais Sir Gavigan, expert en égyptologie de la fondation Penhew avait démenti l’existence actuelle de cette secte. L’autre possibilité est ce restaurant égyptien : la pyramide bleue, mais choux blancs, personne ne semble vouloir parler.
Les deux policiers se promirent d’informer l’autre en cas d’avance dans l’enquête.
Le Professeur O’Neill, travailla sur un ouvrage qu’elle avait récupéré de la bibliothèque des Carlyle : un recueil de poème ésotérique racontant l’existence du Pharaon noir et d’une salle de cérémonie en dessous d’une pyramide inclinée, la pyramide de Dhashur. Une visite à la bibliothèque de la Royal Académie, ne lui avait pas permis d’en apprendre davantage.
Maximilian Garrow de son côté déjeuna avec le lieutenant Lloyd Ferrar, un contact qu’il avait gardé des îles Andamans. Ce dernier était revenu en Angleterre avec sa collection de papillons. Après avoir évoqué leurs périples récent, Maximilian glana un contact au Caire, le capitaine Hamford.
Edouard retourna voir sa mère qui lui avait préparé un guet-apens de la pire espèce : un déjeuné avec une jeune femme, miss Dorothy Elfworth, dans le but qu’ils se fréquentent. Il n’y a plus retors qu’une mère voulant marier son fils débauché. Après ce déjeuné interminable et après avoir remplis tous les codes ou presque de la bien séance, Edouard put enfin compulser les ouvrages de son père. Il ne trouva aucune trace tangible d’une Pharaon noir ayant vraiment existé mais pas mal d’information sur la pyramide de Dhashur, la pyramide inclinée.
Tous, partagèrent leur information en début de soirée à la pension de miss Dotfire.
De peur de perdre leur temps, ils allèrent tous à la pyramide bleue pour enquêter sur ce mystérieux établissement. Ils furent bien accueillis, même si l’établissement commençait à se vider vu l’heure tardive. Après un bref échange avec un serveuse qui semblait vouloir leur parler, ils furent servis par d’autres membres de l’établissement qui leurs firent découvrirent les liqueurs et douceur de l’Egypte.
Malgré cela, ils n’apprirent pas grand-chose et retournèrent a la pension a travers le Fog londonien…
All you need is secret alcove

Le petit déjeuné de Miss Dotfire fut agréable. A la table des nos investigateurs, un Texan du nom de Million Mark pris place. Après avoir échangé quelques banalités sur le baseball, ce dernier quitta la pension pour ses affaires, les laissant discuter de l’organisation de la journée. Après une tasse thé plus ou moins « améliorée », ils se quittèrent leur mission en tête.
Maximilian Garrow, parti se renseigner sur le Pharaon noir au British Museum. Après avoir fait le tour de la gallérie d’égyptologie, il engagea un jeune étudiant guide pour le faire plancher sur ce pharaon. A hauteur de 50 livres, ce dernier accepta de se mettre illico au travail et s’engagea à le prévenir dès qu’il aurait du nouveau.
Edouard Carter se rendis à la fondation Penhew qui se trouve, justement devant le British Museum. L’Hôtel particulier Penhew du quartier Covent Garden est un classique de l’architecture londonienne avec ses briques rouges et ses multiples sculpture adossée. A l’intérieur, tout le chic d’une fondation prospère et même une copie du Lamassu qui se trouve au Louvre de Paris. En faisant usage de son nom prestigieux, il obtint rapidement un entretien avec Sir Edward Gavigan.
Celui-ci l’accueillit avec tous les usages et la courtoisie britannique, cependant il fut bien peu prolixe en ce qui concerne l’expédition Carlyle, il accepta de lui fournir un dossier touristique de l’Égypte pour monter ses expéditions touristiques. L’entretien se termina cordialement mais Edouard avait l’impression d’être resté sur sa fin.
Alaska de son côté, poursuivi la piste du peintre de l’horreur et après avoir trouvé l’une des ses œuvre troublante à la Wellcome Collection a Bloomsbury, récupéra son adresse : le 6 Holbein Mews. Cette toile représentait une femme, la gorge rouge et une forme noire mal définie en train de l’enlacer par derrière. C’est dans l’un des rues de coron qu’Alaska dans un Fog d’une épaisseur sans nom, atterrie. Elle fut reçue par une vieille femme se présentant comme la mère de Miles Shipley le peintre. Cette vieille femme empestait le poisson et l’ammoniac. Quand à lui, Miles, avait les traits d’un toxicomane qui n’accepta de montrer une des ses toiles qu’après maintes tergiversations. Cette dernière représentait un univers de brouillard avec des monolithes dépassaient, chacun d’entre eux semblant esquisser un homme ou une femme ligotée et torturée. Après cette visite perturbante, Alaska rejoignit la pension Dotfire, Baker street.
Enfin, Pedro partit en planque en face de la Pyramide bleue, dans une chambre de bonne, juste en face. En fin de matinée, il vit un étrange personnage rentrer discrètement dans le restaurant et en ressortir tout aussi discrètement. L’après midi, l’activité repris dans la rue et le restaurant recevait nombre de fournitures pour égailler la clientèle nocturne. L’étrange personnage revint donc en fin d’après midi, avant repartir vers une boutique d’épice fermée. Pedro le suivit et le vit rentrer à l’intérieur. Seule signe d’activité, des fluctuations de lumières jusqu’à 23h et puis plus rien.
Au matin du 10 février, Million Mark avait un peu perdu de sa prestance, largement entamé par les bières fortes de la veille. De leur côté, nos investigateurs repartir sur leurs pistes déjà suivi et Maximilian resta à la pension en attente d’information du British muséum. Juste après, Pedro passa sa tête à la pension et raconta sa planque à Mr Garrow. Ils décidèrent de faire une enquête de voisinage dans le quartier de Soho.
Ils firent le tour de des commerçants proches de la pyramide bleue mais sans grand résultat. Ce n’est que dans une échoppe de tabac tenue par un Pakistanais que cela devinrent plus intéressantes. A demi-mots et aidé par quelques livres sterling, il leur apprit qu’une fois par mois, entre le 13 et le 15 du mois, un camion quittait l’arrière de la pyramide bleue à une heure indue. Une fois même, alors que le camion quittait la ruelle vers une destination inconnue, il vit un homme s’échappant de l’arrière, rapidement rattrapé par deux autres qui le molestèrent avant de le remettre dans le camion et de repartir.
Dans la matinée, Edouard Carter et Alaska Vanderbilt reprient la route des quartiers ouvriers de Londres pour y retrouver le peintre et sa mère. Il ne fut pas plus facile d’accéder à l’atelier comme la première fois, mais 40 livres permit quand même d’améliorer la situation. Alors que le jeune homme peignait, le regard dans une nuage hallucinatoire, Edouard réussit à subtiliser une seringue suspecte à côté de la couche. Ils réussirent à visiter l’étage de la maisonnée qui semblait trop bien rangée avant d’être reconduit à la porte par la mère qui empestait toujours le poisson.
Après avoir avalé un repas à base de mouton et de panse de brebis, nos investigateurs repartirent.
Alaska allât revoir Mickey Mahoney, le rédacteur en chef du Scoop. L’entretient se passa beaucoup mieux que la première fois. Les deux journalistes échangèrent informations et bon procédé : en tribut des informations données par Alaska sur leurs enquêtes en cours, Mickey lui promit de faire analyser la seringue, et de leur trouver une voiture pour la « chasse » au camion dans quelques jours en échange d’une place au bord de celle-ci.
Après avoir reçu un câble, Maximilian pris le thé avec son étudiant du British Museum qui lui appris qu’il n’avait trouvé aucune référence en égyptologie sur le Pharaon noir, mais l’un des ses condisciples, lui en connaissait une dans les ouvrages d’occultisme anglais. Se rappelant que le professeur O’Neill en était une experte, il mit en relation cette éminente professeur avec le British Museum et son aéropage d’étudiant. De cet entretien elle apprit que le Pharaon noir avait de nombreuses autres dénominations : la langue sanglante, le vent noir, Celui qui hante les ténèbres, la femme boursouflée, l’homme noir des sabbats, le chaos rampant, Nyarlathotep !
De son côté, Edouard Carter repassa à la fondation Penhew pour récupérer les documents collectés à sa demande. Quand il compulsa rapidement les informations du portfolio, il devint furieux ! Gavigan se moquait de lui en lui fournissant des informations que n’importe quel touriste un tant soit peu curieux aurait pu rassembler. Et après avoir fait un esclandre dans la salle d’attente, il fût reçu par le directeur. La deuxième entrevue fût moins courtoise que la première et le ton monta. Edouard quitta les lieux, furibond.
Cependant, à la sortie de l’hôtel particulier, son regard fût intrigué par un chargement qui quittait la Fondation et d’instinct il décida de le suivre. Le taxi qui poursuivait le camion l’amena très loin vers l’est dans le quartier portuaire de Limehouse, le quartier d’immigré, le quartier asiatique avec ses bordels et ses fumeries d’opium. Le chargement fut livré dans l’entrepôt Punji. Edouard s’introduisit dans l’entrepôt et réussi à s’approchait des caisses de la fondation. Les destinataires étaient multiples, mais réguliers : Compagnie maritime Randolph, zone portuaire de Darwin, Australie ; Omar Shakti, Caire Egypte ; Ahya Singh Export, bassin bilinotoni, Mombassa, Kenya ; Emerson import, New York, Etats unis ; Ho-Fung Import 15 Kayang road, Shangaï, Chine.
Dans l’une des caisses adressées aux états unis, il découvrit une amphore ancienne recouverte de symboles mystérieux qu’Edouard n’avait jamais vu. Ne voulant pas tenter sa chance trop longtemps, il décida de quitter l’entrepôt et de rejoindre le cœur de Londres.
Pedro de son côté, continua son enquête de voisinage et revint avec des douceurs du Maghreb, la boutique d’épice étant bien achalandé, il eut même le choix dans la datte.
La journée se termina dans une petite pension, à la lumière de chandelles ou quatre hommes et femmes décidèrent d’ourdirent des actions contre ce qu’ils commençaient a entrevoir : une organisation internationale tentaculaire de cultistes adorateur d’un certain Nyarlathotep !
L'épilogue de la secte victorienne

Au soir du 31 février 1925,les membres la fondation Saint Thomas tinrent conseil à la pension, puis se dispersèrent dans le fog londonien.
Maximilien Garrow rejoignit le club de gentleman où le lieutenant Lloyd Ferrar lui avait proposé de passer dans le quartier westminster, non loin du Buckingam palace. Dans une ambiance feutrée aux odeurs de havanes, il fit la connaissance de la bonne société anglaise. En compagnie d'un banquier et d’un industriel il appris l’existence d'une résidence qu’avait acquis Edward Gavigan, un manoir du nom de MISR.
De leur côté, l'élève inspecteur Encina et l’agent du BOI, Alaska Vanderbilt repartirent en planque devant l'appartement du vendeur d'épices. Cela leur permit d'étudier les allées venues de ce vendeur égyptien.
Edward Carter fureta du côté de la pyramide bleu . Après avoir bénéficié des saveurs des produits égyptiens et de la danse du ventre de Yalesha, celle-ci s'approcha de la table pour le prévenir que le fils de l'archéologue était en danger. Attendant un moment avant de disparaître, il quitta l'établissement. Il s'aperçut rapidement qu'il était suivi par 2 hommes dans le brouillard londonien. Une course poursuite s’en suivi et Édouard Carter réussit à semer ses poursuivants.
Après avoir colligé leurs informations, Edouard et Alaska repartir en planque dans le quartier de Soho. De leur côté, Maximilian et Édouard restèrent à la pension de Madame Dotfire. dans la soirée, Pedro et Alaska s'introduisirent dans l' établissement du vendeur d'épices, un certain Tewfi Al-sayed. Au rez-de-chaussée, rien de bien particulier en dehors de cette sensation qui leur rappelait la boutique juju a New york, avant de monter à l'étage et de se retrouver dans un appartement à consonance égyptienne surchauffée probablement en rapport avec les habitudes de son habitant. Une fouille minutieuse de l'appartement leur permis de découvrir des fioles suspectes, à l'odeur acide, des parchemins, ainsi qu'une tenue de prêtre avec des accessoires comprenant une croix ancrée inversée et des sceptres. Sur l'un des murs un miroir particulier, dont la simple présence produisez un malaise tant les dimensions et les formes du cadre était perturbant. Pedro se rappela un conte amérindien que lui racontait sa grand-mère sorcière, celle d'un miroir permettant de voir dans toutes les dimensions, le passé, le présent et l'avenir. Dans ce conte, le héros possesseur du miroir périssait en ayant abusé du pouvoir qui lui avait été octroyé. Malgré l'insistance d’Alaska, rien ne fut subtilisé et nos deux fouineurs repartirent en planque juste avant l'arrivée du boutiquier.
Ce matin du 1 mars 1925, c'était le jour J. Il recontactèrent le journaliste Mickey Mahoney qui devait les prendre le soir même pour filer le camion de la pyramide bleue. Édouard Carter repassa chez sa mère pour récupérer le fusil de chasse de son père, la soirée serait probablement mouvementée. Tout ce petit monde était en poste sur une rue adjacente de la desserte de la pyramide bleu quand le camion vint prendre en charge sa marchandise humaine. Il le filèrent dans les rues de Londres avant de quitter celles-ci pour rejoindre des routes serpentant vers le nord, vers la mer vers les landes en direction de Naze, là où se trouvait le manoir de MISR.
la propriété se trouvait sur une île artificielle entourée de marées en bord de mer, reliée à la terre par un pont qui menait sur une enceinte cachant la propriété. Ils décidèrent de garer leur véhicule sur le pont afin de bloquer la retraite des sectateurs, qu'il pensait, à coup sûr, rencontrer. Après avoir neutralisé le vigile ils voulurent s’approcher de la résidence mais furent arrêtés par un convoi qui voulait rejoindre la propriété. Maximilian Garrow se fit passer pour un étranger perdu et déplaça le véhicule. Cela leur permis de comprendre qu’une partie, au moins, des invités étaient des londoniens dits respectables.
S'approchant de la propriété ils furent stupéfait de la découverte derrière, en bord de mer, d'un immense obélisque d’onyx s’élevant vers le ciel brumeux et sans lune de plusieurs dizaines de mètres. À l'intérieur de la résidence, les invités arrivaient progressivement accueillis par leur nouvel hôte. Après quelques coupes d'alcool, chacun revêtit sa toge avant de rejoindre l'arrière du manoir pour suivre la procession menant à l'obélisque. De leur côté nos investigateurs, suivirent celle-ci et furent les témoins d’un rituel innommable où de nombreuses femmes et hommes furent sacrifiés d'un coup de pique dans le cœur pendant qu’Edward Gavigan psalmodiait un horrible dialecte. Il fut interrompu par le tir d’Alaska Vanderbilt et Maximilian Garrow, mais Tewfi-al-Saed, lui aussi sur place, récupéra les artefacts pour finaliser le rituel. Descendant de l'éther, trois Shanka atterrirent aux abords de l'obélisque et dévorèrent les sacrifiés. A ce moment, la foule devint hystérique et se précipita pour monter à l'assaut de ces créatures. Alaska Vanderbilt décida d'abattre ces créatures d'un autre monde ce qui excita la bête et entraîna la charge de celle-ci en direction de Pedro Encina, le malchanceux.
Dans une course effrénée, Édouard et Pedro rejoignirent la protection du camion non sans avoir descendu l'une de ces créatures. De leur côté Maximilian et Alaska tentèrent de se frayer un chemin pour abattre définitivement le deuxième prêtre , Malheureusement leurs serviteurs leur barrèrent la route et ils durent rebrousser chemin.
Alors que les sectateurs se bousculèrent pour monter sur les shankas, ces derniers emportèrent deux « bienheureux » à une mort certaine, ces derniers le sourire au lèvre. Nos investigateurs quittèrent les lieux le plus rapidement possible, non sans récupérer le reporter du Scoop, pour rejoindre la sécurité londonienne et méditer sur le sort de Twefi al -Sayed et s'il fallait ou non l'assassiner. Ils firent un crochet par l’appartement de Tewfi pour lui subtiliser le miroir qui refusa d’être brisé, ainsi que les fioles. Ils envoyèrent le tout au Professeur O’neil afin qu’il l’étudie à la fondation à New York.